Comme des corps enchevêtrés, la matière qui en découle forme une masse où chaque élément devient indiscernable, où tout est comprimé, serré. Ici et là, quelques morceaux de vêtements apparaissent. Autant de traces d’une existence, d’une vie propre à chacun de ces éléments.
Telle une métaphore de notre existence, cette oeuvre questionne l’individualité de chacun au sein de nos sociétés.